Plombage dentaire effets secondaires : intoxication au mercure dentaire
À travers mes deux livres (7 ème et 8 ème Éditions) JML Editions, je partage avec vous mon histoire en tant qu’ancienne fibromyalgique. Intoxiquée sur trois générations, ma famille a subi les conséquences désastreuses d’une exposition aux plombages dentaires.
La mise en lumière de la toxicité de ce matériau d’obturation m’a été transmise par le Docteur Melet, médecin aujourd’hui disparu qui a vaillamment poursuivi un combat sur une problématique majeure de santé publique : l’utilisation du mercure et d’autres métaux toxiques dans les soins dentaires. Je ne pouvais garder pour moi tout l’héritage de connaissances qu’il m’avait transmis, et j’ai eu à cœur de poursuivre sa mission. J’ai moi-même mené un vaste travail sur les effets secondaires du plombage dentaire dus à l’utilisation de métaux toxiques comme le mercure.
Mon premier livre s’attache à éveiller les consciences en levant le voile sur ce scandale sanitaire. À destination du grand public comme des professionnels de santé, ce livre s’appuie sur des recherches scientifiques, gardées discrètement hors de portée des médecins français et du grand public, pour dénoncer le silence sur l’innocuité des amalgames dentaires.
Le second est un recueil d’expériences qui montre comment il est possible de désintoxiquer son organisme des métaux lourds et de guérir d’un empoisonnement au mercure. C’est le récit complet du parcours qui m’a mené de la maladie à la guérison. Pour vous donner un avant-goût de ce que vous retrouverez dans mes livres, je vous laisse découvrir la suite du contenu.
Qu'est-ce qu'un amalgame dentaire ?
Les amalgames dentaires également connus sous le nom de plombages sont utilisés en dentisterie pour remplir les cavités creusées par la carie dans la dent cariée. Ils ne contiennent néanmoins aucune trace de plomb. Mais qu’y a-t-il véritablement à l’intérieur ?
Composition amalgame dentaire : l’utilisation de métaux toxiques pour “soigner” vos dents
En réalité, l’amalgame dentaire ou plombage est un panaché de métaux toxiques dont le principal élément est le mercure (entre 40% et 50%). À cette substance hautement toxique, reconnue pour être nocive pour la santé et l’environnement, s’ajoutent 2 autres métaux avec environ 30% d’argent et 9% d’étain. Le reste de cet alliage métallique est constitué de cuivre et de zinc.
Photo illustrant 2 dents cariées dont les cavités ont été obturées par des amalgames dentaires.
L’amalgame dentaire est cette pâte grise argentée placée dans la dent pour remplir les lésions carieuses. Le problème c’est que les patients traités avec ce matériau d’obturation sont exposés à au moins trois métaux toxiques pour chaque dent plombée.
Amalgame dentaire mercure : comment est-il fabriqué ?
Le mercure a cette particularité chimique de lier les métaux entre eux. Pour la formation de l’amalgame, du mercure liquide va donc être mélangé à d’autres métaux en poudre, généralement de l’argent, de l’étain, du cuivre et du zinc, mais selon les fabricants, il peut aussi y avoir d’autres métaux toxiques comme le béryllium.
L’amalgamation, qui a d’ailleurs donné son nom au terme « amalgame dentaire », désigne la réaction du mercure lorsqu’il fait fondre les autres métaux, et les mélange entre eux. La substance qui en résulte est malléable, peu coûteuse, et bien pratique pour recouvrir les moindres recoins de la dent cariée.
Une fois que les dents sont « plombées » avec cette pâte grise, arrive alors la phase de « cristallisation » du matériau final. Cette substance durcit et vous pouvez à nouveau retrouver le plaisir de croquer la vie à pleines dents. Vous vous sentez dès lors soulagé et débarrassé de vos problèmes dentaires. Toutefois, la toxicité des amalgames qui ont été posés sur vos dents vous réserve bien des surprises.
Intoxication au mercure dentaire : amalgame dentaire effets secondaires
« Plombage dentaire effets secondaires », « amalgame dentaire toxicité », « intoxication au mercure dentaire », « maladies liées aux métaux lourds ». Autant de sujets qui vous préoccupent et pour lesquels vous cherchez avant tout des réponses.
Quel que soit son état, le mercure est un métal extrêmement toxique pour la santé des êtres vivants et l’environnement. Ayant des propriétés très volatiles, cette substance est bien connue pour s’évaporer à température ambiante, et d’autant plus lorsqu’elle est placée dans la bouche, là où l’amalgame va être frotté et réchauffé par la température du corps, et les aliments chauds.
Chaque action du quotidien, comme le brossage des dents, le mâchage des aliments ou le simple fait de boire des boissons chaudes, va augmenter l’évaporation progressive du mercure, sans parler bien évidemment de la mastication ou du bruxisme qui vont multiplier le taux de relargage du mercure dans l’organisme. Les chewing-gums, sont malheureusement aussi très efficaces pour relarguer les métaux toxiques dans l’ensemble de vos organes. Il en va de même des boissons acides, surtout celles issues des canettes métalliques, mais également des aliments acides, agrumes etc.
Les gestes permettant de diminuer ou d’atténuer ces effets nocifs sont détaillés dans mes livres, de même que les recommandations pour contrôler ou freiner le relargage des métaux toxiques des plombages.
Dès le départ le mercure posé en bouche commence à se volatiliser, et va se diffuser lentement mais surement dans l’organisme. Ce constat est d’autant plus dramatique lorsque l’on sait que chaque amalgame dentaire renferme 1 gramme de mercure, soit 1 000 000 µg (oui c’est beaucoup). Les 1 ers effets ne se feront sentir en moyenne que 60 jours après la pose du plombage dentaire. C’est pourquoi il est très difficile de faire le rapprochement. Mes livres vous offrent de nombreux éléments concrets permettant d’atténuer l’impact du poison.
Mais la bouche n’est pas le seul endroit par lequel le mercure va s’échapper. Cette substance toxique va également se diffuser dans l’atmosphère et la polluer, en particulier celle des cabinets dentaires qui réalisent des poses d’amalgames. En parcourant mes ouvrages, vous apprendrez également que l’exposition au mercure ne se résume pas uniquement aux soins dentaires. Produits cosmétiques, savons éclaircissants, ampoules, scintigraphie, tatouages, piercings, … La liste est vaste et répertoriée très précisément dans mes livres. Vous connaitrez tous les gestes du quotidien permettant d’échapper aux différentes formes de mercure caché.
Mais alors pourquoi le plombage dentaire provoque-t-il des effets secondaires ? Pourquoi représente-t-il un danger pour la santé ? Le mercure, qui en constitue l’élément principal, est un neurotoxique notoire qui s’échappe progressivement de la pâte solidifiée en bouche de plusieurs façons :
- Par abrasion : les frottements induits par les mouvements buccaux et mandibulaires usent peu à peu le plombage dentaire, ce qui permet à ses métaux d’être libérés et diffusés dans les organes clés du corps humain.
- Par évaporation : le mercure a cette particularité d’être extrêmement volatile, c’est pourquoi des particules de cette substance s’évaporent des plombages dentaires sous forme de vapeurs toxiques. Vous imaginez la suite. Celles-ci s’échappent de vos dents, se logent dans vos sinus et montent directement dans votre cerveau par l’intermédiaire des nerfs olfactifs. Pire. Ces vapeurs toxiques sont absorbées par vos poumons, véhiculées dans le sang puis transportées un peu partout dans votre corps, polluant ainsi vos organes vitaux (foie, reins, cœur, poumons, cerveau, …) et endommageant sur son passage votre système nerveux, digestif, immunitaire et hormonal.
- Par électrolyse : l’amalgame dentaire qui est un mélange de différents métaux induit la formation de micro-courants électriques. Ces derniers détruisent lentement l’amalgame au mercure et entraînent la libération d’ions métalliques. Une fois libérés, ces métaux toxiques migrent dans les différents tissus, cellules et systèmes (nerveux, digestifs, hormonal, cognitifs, cardio-vasculaires, immunitaire, respiratoire) de votre organisme.
On considère qu’après 10 à 15 ans, cela dépend des personnes, il ne reste plus de mercure dans les amalgames dentaires. Et le pire c’est qu’en plus d’être un poison extrêmement violent, le mercure a une durée de vie de 15 à 30 ans dans l’organisme, ce qui laisse le temps de faire d’énormes dégâts sur la santé des patients traités avec des amalgames dentaires.
Bien que cela ne fasse que très peu de bruit en France, de nombreuses études parues dans la presse internationale, et reconnues par la communauté scientifique, dénoncent le danger d’un plombage dentaire et des risques d’intoxication au mercure. Celles-ci sont traduites, décortiquées et présentées de façon claire et accessible dans mon livre “Vérités sur les maladies émergentes”, et vous permettront facilement de tout comprendre.
Bien entendu, les effets secondaires du mercure présent dans les plombages ont été niés et ne semblent pas franchir les barrières de notre Hexagone.
Intoxication au plombage dentaire symptômes
Nul doute sur le fait que le mercure des plombages dentaires a intoxiqué des millions de personnes. Ses effets secondaires sont d’ailleurs connus depuis l’Antiquité mais cette découverte ne semble pas avoir empêché son utilisation. J’ai consacré mon premier livre « Vérités sur les maladies émergentes » sur cette question en soulignant, études à l’appui, les troubles graves, symptômes inexpliqués, et maladies liées aux métaux lourds.
Vous y trouverez un test précis en « questions réponses » vous permettant de constater par vous-même votre degré de contamination. Tous les outils y sont à votre disposition pour vous faire votre propre opinion sur votre état de santé par rapport à votre état bucco-dentaire, et détecter facilement tout ce qu’on ne vous a jamais diagnostiqué auparavant.
Vous avez des douleurs chroniques ? Mal partout ? Des symptômes inexpliqués ? Vous passez de spécialistes en spécialistes à la recherche de réponses ? Vous n’obtenez rien ?
Vous êtes sûrement victime d’une intoxication au mercure dentaire, mais ça les professionnels de santé ne le détecteront sans doute jamais, car ils n’ont pas reçu la formation leur permettant d’établir ce diagnostic, ceci est tout simplement passé sous silence dans les facultés de médecine, et même dans les facultés dentaires. Ce qui fait que les dentistes qui sont les meilleurs défenseurs des plombages au mercure, en sont également les premières victimes. Comme les études scientifiques prouvant la nocivité du mercure dentaire en bouche sont en anglais, et que les français ne le maîtrisent pas ou peu, il est facile de les persuader qu’il n’y en a pas. Ils n’iront pas chercher plus loin.
Pourtant nous savons tous que le mercure est un poison actif pour le corps tout entier. Il attaque les cellules, le système nerveux, les reins, le foie, les poumons, la fertilité, perturbe le système digestif, hormonal, cardio-vasculaire et immunitaire. En tant que puissant agent oxydant, il participe également à l’accélération du vieillissement du corps et diminue les capacités de régénération des cellules. Tout ceci engendre de multiples troubles, pathologies et maladies chez les personnes porteuses d’amalgames dentaires. Vous trouverez la liste très détaillée des symptômes dans « Vérités sur les maladies émergentes ».
Les études que j’expose dans mon livre établissent un lien direct entre une intoxication aux métaux lourds et certaines maladies telles que la fibromyalgie, allergies, électrosensibilité (EHS), la sclérose en plaques (SEP), Alzheimer, Parkinson, la maladie de Crohn, les maladies auto-immunes (MAI), et neuro-dégénératives, … Les personnes intoxiquées au mercure souffrent de multiples troubles : douleurs chroniques, migraines, essoufflement, palpitations, tachycardie, contractions musculaires, tremblements, insomnies, fatigue chronique, nervosité, anxiété, infections à répétition, goût métallique dans la bouche, … Vous l’aurez compris, la liste des symptômes d’une intoxication au plombage dentaire est longue, et je ne saurai tout détailler ici. En revanche, une chose est sûre : ces douleurs inexpliquées dans le corps viennent d’un empoisonnement aux métaux lourds car plusieurs études ont montré qu’une désintoxication de l’organisme conduisait à éradiquer la maladie.
Dans mon second livre « Maladies émergentes : comment s’en sortir ? » je détaille les différentes possibilités pour vous libérer du mercure accumulé dans votre corps. … Fanny, David, Pierre, Cécile, Sophie, Sarah, Stephan, Patricia, et beaucoup d’autres en témoignent dans cet ouvrage. Ce sont des milliers de malades soulagés par l’évacuation des métaux dentaires toxiques qui m’ont remercié pour leur guérison et le plaisir d’avoir retrouvé la joie de vivre une vie normale. Des milliers qui, après avoir lu mon premier livre (Vérités sur les maladies émergentes), ont réussi à se débarrasser du mercure piégé dans leur organisme et m’ont raconté leur parcours vers la santé. J’ai choisi les plus parlants, pour les partager avec vous dans ce livre, (mais vous en trouverez d’autres sur ce site), témoignages dans lesquels vous vous retrouverez très probablement. Vous serez étonnés de constater, non seulement que vous n’êtes pas seuls à souffrir sans être compris du corps médical classique, mais surtout, combien vous êtes nombreux à être poussés sans solution, et désespérés, sur des voies de garage. Car non, on ne guérit pas des douleurs avec des antidépresseurs et des anxiolytiques qui vous assomment !
Intoxication au plombage dentaire : tout le monde est-il touché ?
L’intoxication due aux amalgames dentaires ne touche (heureusement) pas toutes les personnes qui en sont porteuses. Et pour cause, il s’agit là d’une question de génétique. Sans rentrer dans les détails qui sont portés à votre connaissance dans mes livres, le foie de certaines personnes ne fabrique pas les protéines nécessaires pouvant éliminer le mercure des tissus intoxiqués, tandis que d’autres oui. C’est pourquoi, certaines personnes arrivent mieux que d’autres à éliminer les métaux lourds de l’organisme.
Devez-vous remplacer vos amalgames dentaires ?
Au vu de la toxicité des amalgames dentaires, de toute évidence, la meilleure chose à faire serait de les retirer. Mais il n’en n’est rien. Cette opération comporte de nombreux risques pour le porteur d’amalgames. Elle peut aussi bien aggraver ses symptômes que le rendre malade, si tant est qu’il ne le soit pas déjà. De plus, si cela fait de nombreuses années que la personne porte un amalgame, il est fortement possible que le mercure se soit échappé en totalité dans le corps, ne laissant plus aucune trace de mercure dans le plombage initial. L’intervention de retrait n’aurait alors plus vraiment de sens et se relève très dangereuse. La priorité serait de trouver des alternatives pour se débarrasser de la substance toxique fixée dans l’organisme.
Je ne peux que vous inviter à lire mon livre « Vérités sur les maladies émergentes » qui explique dans le détail tout ce paradoxe.
Les réglementations sur les amalgames dentaires
Saviez-vous qu’en France, pour qu’un médicament soit commercialisé, il doit suivre une procédure très stricte et passer toute une série de tests avant d’obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) par les autorités sanitaires compétentes ? De toute évidence, cette démarche est d’une nécessité absolue pour garantir sa qualité, sa sécurité ainsi que son efficacité. À l’instar des médicaments, les dispositifs médicaux et les additifs alimentaires sont également soumis à des réglementations strictes.
Néanmoins, à notre grande surprise, les amalgames dentaires échappent à ces protocoles. Pourquoi me demanderiez-vous ? Tout bonnement car ces derniers sont classés parmi les produits industriels et n’entrent pas dans la catégorie des produits de santé. Aucun agrément sanitaire, ni d’autorisation de mise sur le marché. Une belle combine les exemptant de l’obligation d’appliquer des tests.
Au final rien d’étonnant car au vu des effets secondaires, on s’imagine bien que les amalgames dentaires au mercure seraient immédiatement rejetés dès la première phase des tests. De plus, avec encore chaque année en France 15 tonnes de mercure placées en bouche, on comprend bien qu’il n’est pas dans l’intérêt des industriels que la toxicité des amalgames dentaires soit exposée au grand public.
Laissés dans l’ignorance, les porteurs d’amalgames continuent de s’exposer quotidiennement avec ce matériau pourtant considéré comme extrêmement dangereux, neurotoxique et tératogène (susceptible de provoquer des malformations congénitales).
Obturations au mercure : feu vert pour les dentistes en France malgré les interdictions dans de nombreux pays
Bien que de nouveaux matériaux d’obturation aient vu le jour depuis quelques années (notamment les résines composites), les amalgames dentaires au mercure sont toutefois encore autorisés et utilisés en France chaque année malgré des interdictions dans de nombreux pays. On peut par exemple citer la Norvège, l’Allemagne, la Russie, la Suède et le Japon, qui, au vu des centaines d’études publiées sur le danger notoire des plombages dentaires au mercure, ont décidé d’interdire son usage pour obturer les dents cariées. Pour certains, cette discipline n’est plus enseignée dans les facultés dentaires. Les cabinets dentaires en Californie sont même dans l’obligation de porter ostensiblement un panneau d’avertissement à destination des patients pour les informer que « les patients traités avec ce matériau d’obturation s’exposent à cette substance chimique toxique. L’État de Californie a connaissance du fait que le mercure peut provoquer des déformations à la naissance et d’autres troubles de la reproduction. »
Seulement voilà. En France, on préfère fermer les yeux, et, face à cette situation, il est tout à fait légitime de se poser des questions. Le fait de maintenir les amalgames dentaires dans la catégorie des produits industriels ne résulterait-il pas d’une volonté publique ? Ne permettrait-il pas finalement de couvrir un scandale d’ordre sanitaire ? Qui a intérêt à maintenir l’utilisation des amalgames dentaires en vigueur ? Tout d’abord, les fabricants d’amalgames qui jouissent d’un marché prospère et rentable. Le remboursement est peu couteux pour Sécurité Sociale. Les dentistes qui l’apprécient pour ses commodités d’application (facile à manipuler et rapide à poser). Et enfin, les décideurs politiques que cet aveu risquerait de discréditer.
Comment se fait-il que la plupart des dentistes continuent de manipuler quotidiennement ces pâtes dentaires sans remettre en cause leur pratique malgré de nombreux signaux d’alerte ? Le conditionnement des amalgames dentaires est pourtant marqué d’une tête de mort, indiquant de façon très claire et visible qu’il s’agit d’un produit chimique toxique.
La formation des dentistes à la Faculté, des professeurs, de même que la presse dentaire maintiennent un discours pro-amalgames dentaires les qualifiant d’inoffensifs pour la santé des personnes. Autre fait qui devrait alerter les professionnels de santé : le stockage des surplus d’amalgames dentaires. Bien entendu, ceux-ci ne sont pas recyclables et, comme pour les déchets nucléaires, ils sont récupérés dans des containers hermétiques spéciaux par un organisme spécialisé dans le ramassage de produits dangereux.
J’ai la chance inouïe d’avoir rencontré le Dr Melet et d’avoir ainsi été initiée à ce problème de Santé Publique, véritable scandale sanitaire. Il m’a transmis la curiosité d’aller chercher derrière les apparences, et une autre façon de voir la médecine. Il m’a montré comment découvrir ce qu’on ne nous dit pas, et comment détecter des éléments poussés dans l’ombre par les autorités.
Il n’a pas eu le temps d’écrire alors j’ai mis toute mon énergie à partager ces précieuses informations avec vous, mes lecteurs, j’ai rédigé ces 2 livres pour que tous les intoxiqués au mercure qui s’ignorent, puissent enfin comprendre, que ce n’est pas dans la tête, comme le corps médical, s’acharne à nous le faire croire, car ils sont eux aussi maintenus dans l’ignorance.
Après leur guérison, beaucoup de mes lecteurs leur ont offert mes livres, et très nombreux sont les médecins, dentistes, neurologues, psychiatres, cardiologues qui m’ont écrit après avoir découvert ce problème de santé publique grâce à leurs patients ! C’est le monde à l’envers !!
J’espère de tout cœur que mes 2 livres changeront votre destin, et ceux de vos soignants en éclairant votre horizon et le leur comme ils ont éclairé le mien.