J’ai souffert durant presque vingt ans : fatigue chronique intense que rien ne justifiait, dépression, angoisses, malaise indéfinissable et continuel, très invalidant.
Tous les examens médicaux possibles et imaginables entrepris ne révélaient aucune anomalie. Les recherches effectuées personnellement, les essais de thérapie psychique ou les traitements de médecine parallèle ne m’apportaient aucune amélioration, je suis gagnée par le désespoir ! Un calvaire qui durera 17 ans …
Mais un jour je tombe sur article d’un journal de santé naturelle qui m’interpelle, j’ai réussi à entrer en contact avec le docteur Melet qui aussitôt m’a prise en charge. Il était temps ! J’ai effectué les tests nécessaires par correspondance, avec le laboratoire allemand, ce n’était pas si compliqué, lesquels ont effectivement révélé une intoxication importante au mercure due à la présence de 6 amalgames dentaires dans ma bouche. Le Dr Melet ne s’était pas trompé. J’ai donc entrepris le traitement sous son contrôle (jusqu’à son décès brutal).

Mon taux de mercure diminue, mon état s’améliore progressivement, je fais alors assainir ma bouche en ôtant les plombages et retrouve une forme excellente. A bientôt 77 ans, je puis dire que je me sens rajeunie et ne me suis pas aussi bien portée depuis plusieurs décennies.
Mon entourage n’en revient pas. Avant de vous lire, j’attribuais cette guérison au traitement du docteur Melet, mais sans en être absolument certaine. Mais après la lecture de vos 2 livres, je n’ai plus aucun doute : ils m’ont fait découvrir tant de choses ! MERCI de tout cœur pour ce travail considérable.
J’ai une telle reconnaissance envers le docteur Melet que, comme vous, je ne pense pas avoir le droit de garder tout cela pour moi. Je parle le plus possible de mon expérience vécue autour de moi, je fais lire vos livres en les prêtant, en les recommandant à tous ceux que je rencontre, pour témoigner et contribuer à encourager ceux qui souffrent des ravages de ces intoxications aux métaux lourds et particulièrement au mercure (vérités si bien cachées!)

Marie-Thérèse